2 Déc 2016 | Actualités

B. Koné : « Lorient est gravé dans mon cœur »

L’OM reçoit deux fois consécutivement à domicile. C’est l’occasion de faire le plein de points…
Nous avons en effet l’opportunité de prendre six points en recevant deux fois à la maison (Lorient ce soir et Lille dimanche prochain) afin de maintenir la pression sur nos rivaux. Nous jouons pour jouer le titre à Lyon. Mais nous n’en sommes pas encore là, commençons par le match contre Lorient.

Sur un plan plus personnel, comment analysez-vous votre début de saison ?
Plutôt satisfaisant. Mais : peut mieux faire, ai-je envie de dire… Je sais que je peux apporter encore plus à ce groupe. Je travaille durement à l’entraînement pour cela et j’ai confiance. Je sais que ça va venir.

Justement, vous retrouvez un club que vous connaissez bien…
Si je joue ! (Il sourit…) Retrouver un ancien club est toujours particulier. D’autant que je suis très attaché à Lorient et à Christian Gourcuff, l’entraîneur des Merlus pour qui j’ai beaucoup de respect et avec lequel j’entretiens une relation singulière. Mais dès que je suis sur le terrain, je n’y pense plus. Nous nous retrouverons avec grand plaisir avant et après le match.

Ce groupe vit ensemble depuis plusieurs mois maintenant. Il semble que les automatismes dans le jeu sont là…
Quand je regarde, avec le recul et de l’extérieur car je n’étais pas ici, je relève que le groupe a pas mal évolué depuis la saison passée. Il est donc tout à fait normal de constater qu’il a fallu un certain temps avant de trouver un certain rythme et de peaufiner les réglages. Il faut se connaître, se découvrir dans le jeu et sur le terrain en fonction des déplacements, des courses, des appels, des qualités individuelles et des consignes du coach. Désormais, nous nous connaissons mieux. Et je pense que cela se voit par nos résultats.

Un mot pour les supporters des Merlus qui ne vous ont pas oublié…
Ils sont toujours dans mon cœur. Depuis qu’ils m’ont encouragé pour mon premier match avec ce club, mon passage à Lorient est gravé à tout jamais dans mon cœur.

Merci à Thierry AGNELLO et Jérôme ANDREACCHIO pour la mise à disposition de cette interview

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