2 Déc 2016 | Actualités

J. Audel : "Le collectif fera notre force"

A domicile, VA a commencé par une belle victoire face à Saint-Etienne…

Ça veut dire qu’on s’est bien préparé, on annonce la couleur. On sait qu’on a un bon groupe, jeune, avec du talent. A domicile, on a toujours voulu montrer ce visage-là. On a tout donné et c’est une très bonne chose qu’on se soit imposé à l’arrivée.

On a aussi pu voir que les valeurs de solidarité et d’abnégation étaient toujours présentes dans le groupe…

Le coach a pris cette équipe en Ligue 2, des joueurs ont laissé leur empreinte, des valeurs. On se doit de continuer le travail qui a été effectué par respect pour eux. Dans ce groupe, il n’y a aucune star, il faut se battre avec nos armes et tous tirer dans le même sens, à l’image de nos supporters et de tous les gens qui travaillent au club. C’est surtout le collectif qui fera notre force. C’est sûr qu’il y a du talent mais je pense que collectivement, on est meilleur que l’année dernière. Après, il faudra beaucoup travailler pour obtenir de bons résultats.

Que t’inspires cette équipe de Lorient que tu connais bien ?

C’est un club qui est et restera dans mon coeur. J’ai passé une de mes plus belles saisons là-bas avec Christian Gourcuff, un homme que j’apprécie beaucoup. Ce match aura une saveur particulière, je retrouverai aussi deux de mes meilleurs amis dans le foot, Benjamin Genton et Oscar Ewolo. De toute façon, quand je regarde le calendrier en début de saison, je cherche les rencontres face à deux équipes : Nice et Lorient. Lorient, c’est une équipe qui joue bien au ballon, avec de bons joueurs comme Abriel ou Le Pen, ça devrait être un beau match.

Comment la décrirais-tu au niveau du jeu ?

C’est un 4-4-2 qui, je pense, a fait ses preuves en Ligue 1. C’est surtout une équipe qui joue très « propre », en étant à l’image de son coach. J’ai joué là-bas et je sais ce que demande l’entraîneur, c’est pour ça que je me permets de dire ça. C’est un beau football, avec des consignes respectées à la lettre. C’est difficile de les malmener, surtout quand ils font le jeu, mais ils n’aiment pas qu’on les bouge physiquement. C’est là qu’ils sont prenables, et, de notre côté, c’est une de nos forces.

Merci à Florent PIASECKI du VAFC pour la mise à disposition de cette interview.

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